EXTRAITS DE PRESSE

« De véritables prouesses techniques. De plus, grâce à un sens aiguisé du burlesque, leur numéro s’est avéré plein de drôlerie mais aussi de tendresse et surtout de poésie. Un plein d’émotions auquel le public de tout âge s’est montré très sensible. »
Midi Libre, samedi 4 août 2007

« … C’est devant plus de 1500 personnes que le duo La Cabriole a joué, hier soir. (…)
Mais le clou du spectacle vient du ciel et des acrobaties aériennes réalisées dans le vide avec
l’aide d’une corde, chaque saut étant accompagné des soupirs d’émerveillement et de
surprise du public. Un public qui s’est levé comme un seul homme pour saluer la
performance de ce couple, à la vie comme à la scène. »
Le Courrier de l’Ouest, dimanche 10 septembre 2006

« Dans la pure tradition saltimbanque, le cirque la Cabriole a posé sa roulotte au jardin
public (…)Le public a été conquis par les talents de ce couple d’artistes professionnels qui
auraient mérité une foule. Jonglage, musique, acrobaties ponctuées d’un brin de poésie. »
Sud ouest, 22 juillet 2006.

« … Question charme, la roulotte du Cirque la Cabriole n’en manque pas. (…) Nos deux de
la Cabriole ont illuminé la soirée (…) l’univers burlesque des Chaplin et autre Buster
Keaton. »
Le Dauphiné, 13 août 2005

« … Le public ne s’y est pas trompé. Au fil des numéros, le nombre de spectateurs s’est
épaissi, les enfants traînant leurs parents pour admirer, rire, et crier tout au long des
acrobaties (… ) Un joli moment de fraîcheur pour les yeux.
(…)Et ces couteaux que la dame balançait d’une main vers l’autre. Ça dessinait des courbes
dans l’espace, à vous fendre « lame ». Le public retenait son souffle .
(…) Et basta le torticolis ! »
L’indépendant, 11 août 2005.

« … Quatre courts métrages de Charlie Chaplin entrecoupés des touchants moments
d’émotion de Marie et Loïc, du Cirque La Cabriole, héritiers des saltimbanques, pour une
prestation en parfaite harmonie avec la poésie et le burlesque de Chaplin ».
La Dépêche du Midi, 6 août 2005

« La palette de ce jeune duo d’artistes semble tendre vers l’infini »
L’indépendant , décembre 2003.